L’eau, un besoin humain fondamental, mais un privilège pour les sans-voix

Gestion de l'eauQuestions sociales

Notes au radiodiffuseur

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L’eau est un besoin fondamental partout dans le monde. Dans de nombreux pays africains, il y a de l’eau en abondance. Quant à savoir si l’eau est salubre, c’est une autre question. Certaines collectivités doivent aller loin simplement pour trouver de l’eau. Dans de tels cas, personne ne se soucie de sa salubrité. Lorsque l’eau est facilement disponible, alors là on commence à parler d’eau propre et salubre à usage domestique.

Il incombe aux habitants des collectivités de se renseigner sur l’eau et l’assainissement pour leur sécurité, de peur de passer la majorité de leur temps dans un lit d’hôpital à soigner des maladies liée à l’eau. Parfois, la cupidité des gens les amène à faire des branchements illégaux aux canalisations principales sans comprendre les dommages et les conflits que cela engendre pour la collectivité.

Dans le texte qui suit, une collectivité a pu avoir accès à de l’eau avec son propre réseau de distribution d’eau en Tanzanie. Un représentant de l’administration locale avait aidé le bureau de l’eau du district à lancer un projet central d’écoulement par gravité pour aider la collectivité. L’administration du district a fourni toutes les ressources et assumé toutes les dépenses nécessaires pour implanter un projet s’étendant sur 23 kilomètres. Personne n’aurait pu prévoir que des conflits surgiraient. Mais les gens qui voulaient leurs propres branchements privés illégaux ont agi et l’ont fait avec la complicité des fournisseurs de services.

Le présent texte est une histoire fictive qui repose sur des entrevues réelles avec des bénéficiaires du projet et du personnel. Vous pourriez vous en inspirer pour faire des recherches et rédiger un texte sur un sujet semblable dans votre région. Ou encore vous pourriez choisir de produire ce texte dans votre station en utilisant des voix d’acteurs pour représenter les gens qui parlent. Si tel est le cas, veuillez vous assurer de prévenir votre auditoire, au début de l’émission, que les voix sont celles d’acteurs et non pas des personnes initialement impliquées dans les entrevues.

Texte

Personnages

Jacob : Formateur en défense des droits
Cheburet : Préposé au projet
Citoyens 1 et 2
Clément : Fonctionnaire du sous-comté

Animateur :
Chers auditeurs et auditrices, notre émission d’aujourd’hui porte sur l’eau et plus particulièrement sur l’intégrité de l’eau. C’est tout ce qui concerne la responsabilité et l’imputabilité dans la gestion et l’utilisation de l’eau. Lorsque tout le monde agit avec éthique, une barrière préventive est dressée contre la corruption. L’imputabilité s’applique à tout le monde, en commençant par l’utilisateur. Ce dernier est responsable d’utiliser la ressource légalement et équitablement. Le fournisseur des services d’eau est également responsable de faire son travail légalement, équitablement et ouvertement, tout en se conformant aux ententes qui sont conclues entre les utilisateurs et les fournisseurs. L’intégrité de l’eau s’applique également aux politiciens, aux fonctionnaires, aux compagnies et aux travailleurs qui réglementent et construisent les réseaux de distribution d’eau et s’assurent que l’eau de la collectivité est salubre.

Notre histoire se déroule dans la collectivité fictive de Diwani, dans le district de Machinjoni au sud-est de la Tanzanie. Diwani bénéficie d’un projet d’eau communautaire, un projet central d’écoulement par gravité. Le projet d’eau a bien fonctionné pour certains dans la collectivité, mais il y a eu des défis à relever. Chers auditeurs et auditrices, vous allez apprendre aujourd’hui comment les questions de corruption reliées aux ressources naturelles comme l’eau peuvent poser des problèmes inattendus. Ces genres de problèmes surviennent souvent lorsque la collectivité entière n’est pas impliquée dans les phases initiales de mise sur pied d’une initiative communautaire.

Chers auditeurs et auditrices, concentrons-nous sur l’histoire du projet d’écoulement par gravité du sud-est de la Tanzanie et sur sa progression depuis ses débuts en 2001. Tout d’abord, nous allons entendre deux citoyens.

Citoyen 1 :
Merci, animateur. Je m’appelle Kyomukama Roset et je suis bénéficiaire du projet d’eau de Nyabikungu qui a été lancé en 2001 par le district de Machinjoni. L’idée a été avancée par notre conseiller municipal et ensuite présentée au niveau du district. Les fonctionnaires du district sont ensuite venus dans la collectivité et ont identifié une source d’eau. Puis ils ont rencontré les citoyens pour parler du projet avec eux. Par la suite, nous avons vu des gens construire une structure à la source d’eau principale, avec des réservoirs et des tuyaux qui traversaient la collectivité. Nous avons accès à de l’eau aux robinets de prise d’eau qui ont été placés à des endroits stratégiques pour desservir un grand nombre de citoyens. Le réseau a été installé gratuitement pour nous par le district. Nous avons utilisé l’eau sans payer, en dehors des petits bris. Les bris importants sont réparés par le district.

Citoyen 2
:
Je m’appelle Kentaro Grace et je suis bénéficiaire du projet d’écoulement par gravité de Nyabikunguesti. Lorsque le projet a débuté, je me souviens que nous l’avons bien accueilli et que nous y avons même investi un peu d’argent. Les robinets ont été installés à des endroits centraux pour desservir équitablement les différents villages.

Après un certain temps, nous nous sommes rendu compte qu’il manquait de l’eau. Mais nous ne savions pas pourquoi. Nous l’avons donc signalé aux représentants des comités des robinets, qui sont chargés de corriger le problème. Nous avons découvert par la suite que quelques personnes riches avaient fait des branchements illégaux. C’est pour cela qu’il manquait de l’eau et que nous devions aller à la source principale pour trouver de l’eau. Le puits que nous utilisions contenait de l’eau insalubre parce qu’il était abandonné. Nous devions donc parcourir un long chemin pour parvenir à la source principale afin d’y puiser de l’eau propre.

Animateur :
Oui, chers auditeurs et auditrices, d’après ces deux citoyens, nous comprenons que le projet d’écoulement par gravité est un service du gouvernement à la collectivité. Nous avons appris comment le gouvernement et la collectivité s’assurent que le projet fonctionne bien en faisant diverses contributions, par exemple lorsque des réparations sont nécessaires. Écoutons Cheburet. C’est le préposé au projet depuis ses débuts. Il va nous raconter sa version des faits après une courte pause musicale.

Pause musicale

Cheburet :
Merci pour cette invitation. C’est le conseiller municipal du quartier de Nyabikungu qui a porté la question de l’eau à l’attention du gouvernement et qui a vraiment déclenché toute cette initiative. Dans sa région, il y avait beaucoup d’eau. Mais il estimait que le gouvernement n’en faisait pas assez pour maintenir la salubrité de l’eau. Le gouvernement acheta donc la terre sur laquelle était située la principale source d’eau. Puis, il acquit différentes parcelles de terre où furent installés les réservoirs d’eau. Ensuite, il acheta les tuyaux et les robinets. Le nombre convenu de robinets était de 71. Ceux-ci ont tous été installés à intervalles réguliers pour desservir les habitants vivant près des robinets.

Lorsque le projet a débuté, j’ai été formé par le district pour la gestion générale du projet. J’ai été présent tout au long de la phase de construction et d’installation. Après l’implantation du projet, j’ai obtenu les clés de tous les points d’eau, de la source principale, des prises d’eau et de toutes les sorties d’eau qui desservent l’ensemble de la collectivité. Au départ, mon travail consistait à m’occuper des 71 robinets et à m’assurer que tous les problèmes de canalisation soient résolus.

Le premier gros problème que j’ai rencontré remonte à 2003 et puis à nouveau en 2004. Il avait beaucoup plu et l’envasement bloquait les prises d’eau, si bien que la collectivité recevait peu d’eau. Étant donné que les membres du comité du projet central d’écoulement par gravité sont aussi des utilisateurs, ils ont transmis le problème au sous-comté. Ils ont envoyé un expert et nous avons réglé le problème ensemble. Cela a amélioré la situation et la collectivité a ensuite reçu de l’eau comme d’habitude.

Animateur :
Merci, Cheburet, pour cette information. Nous avons appris comment le gouvernement avait l’intention de venir en aide à sa collectivité. Il a acheté la terre sur laquelle on recueille l’eau par écoulement gravitaire et il a acquis les terres sur lesquelles les réservoirs ont été installés. Ensuite, il a acheté toutes les ressources, comme les tuyaux et les robinets, et implanté l’ensemble du projet. Tel que proposé, les 71 robinets ont été installés. Cheburet a fait face à quelques défis, mais a été capable de les régler. Pourriez-vous nous dire ce qui est arrivé après?

Cheburet :
Oui. Il y a eu des plaintes de citoyens qui ne recevaient pas d’eau. Ou bien ils recevaient très peu d’eau avec une mauvaise pression. Ceci a provoqué une bousculade pour tirer de l’eau à certains robinets.

Lorsque j’ai entendu cela, j’ai essayé de trouver la cause de cette situation. J’ai découvert que certaines personnes avaient installé des robinets dans leurs maisons et puisaient l’eau illégalement. Cette pratique entravait l’écoulement normal de l’eau. Ces personnes avaient les moyens d’acheter tout le matériel nécessaire pour installer l’eau dans leurs demeures. Elles appelaient leurs propres plombiers sans mettre au courant le comité du projet d’écoulement par gravité ni le préposé.

Vous savez, parfois on rationne l’eau. Mais certaines personnes ne voulaient pas se retrouver sans eau, même momentanément. Avec des branchements illégaux, elles ont de l’eau même quand elle est rationnée. De même, elles gardaient des animaux qui boivent beaucoup d’eau. Elles voulaient s’assurer de ne pas manquer d’eau pour leurs animaux et leurs nombreux autres usages. Elles installaient donc les robinets la nuit. Mais la capacité du réseau n’était que de 71 robinets. Cela signifiait que le réseau était surchargé. Ainsi, certains citoyens ne recevaient pas d’eau, parce qu’elle était redirigée vers ces robinets illégaux.

Étant donné que je n’avais pas le pouvoir de m’interposer dans les branchements illégaux, j’ai signalé cette situation au comité. Le comité l’a signalé au district. Mais le gouvernement n’a jamais agi. Au lieu de cela, les fonctionnaires ont simplement déclaré que ces gens avaient aussi besoin d’eau. Je n’ai donc rien pu faire à ce sujet. C’était comme si on versait des pots-de-vin aux responsables de l’eau du district pour faire les branchements illégaux. C’est pour cela que personne n’en parlait.

Vous voyez, je ne suis pas rémunéré pour ce que je fais. Considérant la distance que je parcours pour arriver à la source principale, ce n’est pas facile pour moi de m’occuper de tous les problèmes. Je suis payé si j’effectue des réparations et si je présente ensuite une demande de remboursement par écrit au sous-comté. Cela peut arriver une ou deux fois par mois. Je ne suis jamais payé pour nettoyer les points d’eau, ni autour des réservoirs ou des robinets. Mais la collectivité n’envisageait même pas de nettoyer elle-même autour du point de collecte de l’eau. Elle croit que je suis payé pour tout faire, même le nettoyage.

Animateur :
Chers auditeurs et auditrices, avez-vous entendu ce qu’a dit Cheburet? Comment certaines personnes transgressent les droits des citoyens à une jouissance équitable de l’eau? La collectivité veut que Cheburet comprenne et résolve tous les problèmes sans se plaindre parce qu’il a été formé par le gouvernement. Mais Cheburet est également frustré par la situation. Il affirme que, même si le gouvernement a le pouvoir de mettre fin aux branchements illégaux, il n’a pris aucune mesure. Il estime qu’il a joué un rôle dans les branchements illégaux.

Écoutons maintenant les propos d’un intervenant. Jacob travaille au Centre de formation agricole de Kajimbo. Cet organisme a formé les membres des comités des robinets pour défendre leur droit d’accès à l’eau. Écoutons comment Jacob a aidé la collectivité.

Jacob :
Notre organisme est intervenu pour aider la collectivité à comprendre comment elle pourrait contribuer au succès du projet. Les relations entre le préposé et les citoyens étaient tendues. Ils estimaient qu’il n’appartenait pas à la collectivité pour laquelle le projet d’eau avait été construit. Ils le considéraient comme un fonctionnaire payé pour faire tout le travail. Mais ce n’est pas vrai. Certains citoyens insistaient pour qu’il nettoie autour des points d’eau, ou sinon il serait limogé et devrait rendre les clés. En réalité, les citoyens ne collaborent pas avec le préposé, ce qui provoque des conflits quotidiens. Si ces problèmes ne sont pas résolus, le préposé au projet pourrait même être agressé par des citoyens.

À cause de ces problèmes, le Centre de formation agricole de Kajimbo a sensibilisé la collectivité qui a choisi une personne digne de confiance pour présenter sa position dans le cadre d’émissions-débats à la radio animées par un organisme appelé Les agents du changement. Nous croyons qu’il y a suffisamment de robinets pour desservir la collectivité si le projet fonctionne selon les plans. Mais certains citoyens riches estiment ne pas avoir à faire la queue comme tout le monde pour obtenir de l’eau. Les autres citoyens en souffrent. À notre avis, le gouvernement a joué un rôle dans cet imbroglio. Il n’a jamais réagi à ces situations. Et, après tout, le projet a été implanté par le gouvernement au bénéfice de la collectivité. À l’heure actuelle, plus de 200 robinets ont été installés. Mais les branchements illégaux ont entravé le fonctionnement du réseau si bien que, en l’absence de pluies, l’eau doit être rationnée.

Le rationnement pose également un problème. Dans certaines zones, les personnes qui ont des branchements illégaux ont installé des réservoirs d’eau qu’elles remplissent lorsque l’eau est rationnée. Quand c’est le cas, certains citoyens ne reçoivent pas d’eau du tout. Au lieu de couler vers les robinets de la collectivité, l’eau est détournée pour remplir ces réservoirs illégaux avant de rejoindre la collectivité. Ces genres de conflits surgissent au point où certains citoyens ont menacé de démolir le principal réservoir du projet d’écoulement par gravité, si bien que tout le monde en souffrirait.

Animateur :
Chers auditeurs et auditrices, Jacob estime que la collectivité n’a pas encore trouvé le moyen de faire fonctionner le projet d’écoulement par gravité pour le bien de tout le monde. Selon lui, la collectivité pense que le gouvernement a reçu de l’argent de familles riches pour les branchements illégaux. La collectivité est frustrée parce que les branchements illégaux signifient qu’elle doit se passer d’eau durant un certain temps.

Chers auditeurs et auditrices, après une courte pause musicale, nous entendrons un représentant du gouvernement. Clément travaille pour le gouvernement du sous-comté, par le biais duquel le projet a été lancé.

Pause musicale

Clément :
Je suis un agent de développement communautaire pour le sous-comté et je sers de responsable de la coordination pour l’eau. Dans le cadre du projet central d’écoulement par gravité, nous collaborons avec Les agents du changement et le Centre de formation agricole de Kajimbo. Le projet central d’écoulement par gravité était un projet gouvernemental du district de 2001 à 2009. En 2009, il a été transféré au sous-comté, que je représente. Le sous-comté travaille directement avec les représentants de la collectivité.

Après le transfert du projet au sous-comté, nous avons dit aux membres du comité du projet central d’écoulement par gravité qu’à notre avis une politique d’orientation s’imposait. Les membres du comité ont partagé cette idée avec les membres des comités des robinets. Et par l’entremise de ces comités, ils ont recueilli différents points de vue sur la façon de mieux gérer le projet central d’écoulement par gravité. Après avoir recueilli les idées des citoyens, le comité principal a ébauché une politique dans la langue locale.

La nécessité d’une politique d’orientation a surgi à la suite d’inquiétudes formulées au sujet de la présence d’une certaine corruption dans la structure initiale de gestion. Des citoyens ont entendu des rumeurs. Ils disent que, à cause du fait que le préposé au projet n’est pas un membre de leur collectivité, il doit recevoir de l’argent de gens riches pour collaborer aux branchements illégaux. Le comité du projet central d’écoulement par gravité a également été accusé de coopérer avec les auteurs des branchements illégaux et de recevoir de l’argent pour ne pas couper leurs branchements. Avant 2009, certains habitants de la collectivité se demandaient si les fonctionnaires recevaient des pots-de-vin pour ces branchements illégaux.

Pour mettre fin à d’autres problèmes, nous disposons maintenant d’une politique écrite stipulant que tous les détenteurs de branchements illégaux recevront des compteurs d’eau. Dans quelques mois, ils commenceront à payer une redevance mensuelle, basée sur leur consommation d’eau.

Depuis un certain temps, la collectivité estimait qu’elle n’avait pas voix au chapitre et qu’elle était impuissante face à ces branchements illégaux. C’était peut-être vrai dans le passé. Mais la nouvelle politique précise clairement le rôle de chacun dans le projet. Les citoyens savent qu’ils peuvent punir ceux qui trichent. La politique stipule que ceux qui appliquent des pratiques négatives seront livrés à la police et accusés.

Le problème origine de la faiblesse des comités des robinets et même du comité principal. La seule solution consiste à en changer le leadership; ensuite, les choses iront bien. La collectivité a choisi sa propre personne qui, selon elle, la servira au mieux comme préposé au projet. Lorsque le leadership changera, les comités commenceront à recueillir un peu d’argent tous les mois auprès de chaque utilisateur d’eau. Cela permettra de rémunérer le préposé et de payer pour les réparations et pour l’entretien général du projet, et même pour acheter des bottes de caoutchouc aux travailleurs du réseau de distribution de l’eau.

Ces genres de problèmes sont courants non seulement dans cette collectivité, mais aussi dans d’autres districts.

Ce projet a été un processus d’apprentissage pour tout le monde. Nous avons appris que, si le gouvernement veut implanter un projet dans une collectivité, il devrait le faire dès le départ en mode participatif avec l’implication de la collectivité.

Pause musicale

Animateur :
Chers auditeurs et auditrices, si vous étiez zélés, quel conseil donneriez-vous à cette collectivité? Il semble que la malhonnêteté soit possible à tous les niveaux. Par le préposé au projet, par les membres des comités, par les utilisateurs de l’eau et par les fonctionnaires qui ont amorcé l’initiative. Chers auditeurs et auditrices, c’est une leçon à retenir et à mettre en pratique pour mieux agir dans votre collectivité. Comme l’a dit le responsable de la coordination pour l’eau, impliquez la collectivité dès le départ afin que chacun comprenne son rôle. C’est la façon d’éviter les mauvaises pratiques et les jeux de blâme. Il est très important que la collectivité éprouve un sentiment d’appartenance. C’est l’assise la plus importante de tout projet.

Ceci nous amène à la fin de notre émission d’aujourd’hui. J’espère que vous avez appris quelque chose. Au micro (nom de l’animateur). Merci et au revoir.

Acknowledgements

Rédaction : Rachel Awuor, rédactrice confirmée, Centre de ressources communautaires d’Ugunja, Kenya, partenaire radiodiffuseur de Radios Rurales Internationales.
Révision : Erik Nielsen, gestionnaire de programmes nationaux, Réseau d’Intégrité de l’Eau (WIN), et Alexandra Malmqvist, coordonnatrice adjointe des communications, Réseau d’Intégrité de l’Eau (WIN).
Traduction : Jean-Luc Malherbe, Société Ardenn, Ottawa, Canada.

Information sources

Entrevues avec des bénéficiaires, des membres du conseil municipal, des citoyens, des membres des comités, un agent de développement communautaire, un journaliste et des coordonnateurs du projet, 28 mai 2010.