Les coopératives d’agriculteurs aident les agriculteurs zambiens à survivre et à prospérer

Agriculture

Notes au radiodiffuseur

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Le secteur agricole en Zambie, et dans l’ensemble de l’Afrique, fait face à plusieurs défis, notamment le climat qui devient plus rude et déstabilise donc la production de cultures et de bétail, le prix inabordable des intrants agricoles comme les semences et les engrais pour les petits agriculteurs et la production limitée de cultures à cause de la dépendance des petits exploitants vis-à-vis de l’agriculture pluviale. Même au cours des années de bonnes pluies, les agriculteurs sont souvent confrontés à une nourriture ou à un revenu insuffisant durant les mois où la main-d’œuvre agricole est la plus indispensable.

Dans ce texte, nous parlons de la formation des coopératives d’agriculteurs et de la façon dont ces groupes peuvent aider à relever les défis auxquels les agriculteurs sont confrontés de nos jours. Dans la province centrale de la Zambie, la région de Mumbwa, un groupe d’agriculteurs s’appelant la Nakabu Cooperative travaillent ensemble pour produire des semences de maïs et des porcs à vendre pour subvenir aux besoins de leurs familles et de leur entreprise agricole. L’animateur parle à un agriculteur de cette coopérative qui a constaté les avantages de former une coopérative d’agriculteurs. Le dialogue entre les deux est amical et éducatif, mais il incite tous les agriculteurs à s’unir et à former des coopératives pour relever les défis auxquels ils font face, tout en atteignant leur but premier qui est de faire pousser et de vendre leurs produits frais.

Il ne fait aucun doute que les coopératives d’agriculteurs constituent une bonne stratégie d’atténuation des crises et offrent les avantages suivants.

  1. Les demandes des agriculteurs adressées au gouvernement et aux autres intervenants sont satisfaites rapidement lorsqu’ils parlent d’une seule voix forte.
  2. Les coopératives d’agriculteurs contribuent à faire travailler les agriculteurs et les autres villageois et à maintenir la sécurité alimentaire dans leurs foyers, en contribuant à éliminer la faim.
  3. Les agriculteurs (même ceux qui ne savent pas lire ni écrire) apprennent de nouvelles techniques de production des cultures, car ils se rencontrent et s’informent mutuellement.
  4. En faisant partie de ces groupes, les agriculteurs ont accès aux nouvelles et aux informations, ce qui les rend davantage conscients de ce qui se passe autour d’eux. Ceci empêche les acheteurs de les rouler.
  5. Les agriculteurs réalisent de meilleurs bénéfices.

D’autres émissions portant sur les coopératives d’agriculteurs pourraient comporter ce qui suit.

  • Un survol des coopératives d’agriculteurs reposant sur une série d’entrevues avec des agriculteurs. Informez-vous sur les cultures qu’ils font pousser pour les commercialiser, combien ils gagnent par semaine ou par mois et quels marchés ils trouvent pour vendre leurs produits.
  • Des émissions sur le pouvoir de l’union chez les agriculteurs et sur la façon dont les coopératives les aident à se renseigner davantage sur l’agriculture et à produire davantage.
  • Des annonces radiophoniques ou des publicités qui montrent comment former des coopératives peuvent contribuer à atteindre les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD), y compris le premier OMD visant à s’efforcer d’abolir la pauvreté dans leurs villages.
  • Comment les coopératives d’agriculteurs peuvent aider les agriculteurs à offrir une éducation à leurs enfants.
  • Encourager les agriculteurs à diversifier leur production de cultures de façon à donner à leurs familles un régime alimentaire équilibré et à les maintenir en bonne santé.

Texte

Montée de l’indicatif musical, puis fondu enchaîné sous la voix de l’animatrice

ANIMATRICE:
Bonjour à toutes et à tous, auditeurs et agriculteurs. Je suis heureux que vous ayez pris rendez-vous avec moi ce soir pour l’émission Zambia Today. Au micro votre animatrice Alice Lungu Banda. Ce soir, nous vous présentons un agriculteur qui représente une coopérative à Mumbwa, dans la province centrale de la Zambie. Il va nous parler de la coopérative qu’il a formée avec 48 autres agriculteurs dans le but de soutenir leur entreprise agricole et, évidemment, d’apporter de la nourriture dans leurs foyers. Restez à l’écoute.

Montée de la musique pendant 10 secondes, puis fondu enchaîné sous la voix de l’animatrice

ANIMATRICE:
En fait face à plusieurs défis, notamment le climat qui devient plus rude et déstabilise donc la production de cultures et de bétail. On prévoit que cette vulnérabilité continuera de stresser le pays pendant un certain temps encore. Durant les années de sécheresse, le pays doit se fier aux importations d’aliments pour garantir sa sécurité alimentaire. Le fait que les intrants agricoles, comme les semences et les engrais, sont inabordables ajoute encore aux difficultés des agriculteurs. La dépendance vis-à-vis de l’agriculture pluviale est également difficile pour les petits exploitants. Même au cours des années de bonnes pluies, les agriculteurs sont souvent confrontés à une nourriture ou à un revenu insuffisant entre novembre et mars, alors que la main-d’œuvre agricole est la plus indispensable.

Il ne fait aucun doute que les coopératives d’agriculteurs offrent une bonne stratégie d’atténuation des crises dans de nombreuses collectivités rurales en Zambie.

Avant de nous entretenir avec notre agriculteur aujourd’hui, j’aimerais vous donner une définition d’une coopérative. Cette définition vient du ministère zambien de l’Agriculture. Une coopérative est une entreprise ou un organisme appartenant collectivement à ses membres et géré pour leur bienfait social et économique conjoint et dont les activités ne sont pas interdites par la loi. Une coopérative est un groupe de gens ayant comme but commun de faire des affaires et de réaliser un bénéfice, et qui établit certaines règles pour ses activités et convoque des réunions régulières pour surveiller le fonctionnement de la coopérative. Selon le mouvement coopératif international, une coopérative est marquée par les sept caractéristiques suivantes. Les coopératives ont une membriété volontaire et ouverte; elles sont contrôlées démocratiquement par leurs membres; leurs membres participent économiquement à leurs activités; elles sont indépendantes du contrôle par le gouvernement ou l’industrie; elles offrent des cours, des formations et des informations à leurs membres; et elles se préoccupent de leur collectivité locale. La septième caractéristique, c’est la collaboration qui existe entre les différentes coopératives.

Nous allons revenir. Restez à l’écoute.

Montée de la musique pendant 10 secondes, puis fondu enchaîné sous la voix de l’animatrice

ANIMATRICE:
Nous revoilà. L’émission qui va suivre présente des agriculteurs travaillant ensemble pour produire du maïs et des porcs pour la subsistance de leurs familles ainsi que de leur entreprise agricole dans la province centrale de Mumbwa, en Zambie. La coopérative s’appelle Nakabu Cooperative. J’ai eu l’occasion de parler à un agriculteur qui en est le trésorier, M. Laban Chiyabuka.

M. Chiyabuka, bienvenue et merci d’avoir accepté notre invitation à venir nous parler de la Nakabu Cooperative à l’émission Zambia Today.

AGRICULTEUR:
De rien et merci de m’avoir invité.

ANIMATRICE:
M. Chiyabuka, pourquoi avez-vous formé la Nakabu Cooperative?

AGRICULTEUR:
En 2006, je cultivais deux hectares de terres et je plantais du maïs dans le but de le vendre pour subvenir aux besoins de ma famille. Mais, malheureusement, cette année-là Mumbwa fut frappée par une sécheresse et j’ai fini par avoir une maigre récolte, trop maigre même pour nourrir toute la maison, encore moins pour en vendre et envoyer mes six enfants à l’école. La vie est devenue difficile pour ma famille et pour moi.

Étant donné que je n’allais nulle part avec ma ferme, je me suis assis avec quatre de mes amis qui étaient aussi des agriculteurs dans ma région et nous avons parlé de l’idée de former une coopérative d’agriculteurs afin de pratiquer sérieusement l’agriculture et de trouver des moyens de survivre. Nous avons tenu notre première réunion chez moi, durant laquelle nous avons parlé des cultures à faire pousser et à vendre. À la deuxième réunion, nous avons convenu du nom de la coopérative et du montant à verser dans l’entreprise. Nous nous sommes évidemment aussi entendus sur les personnes que nous pourrions inviter pour adhérer à notre coopérative afin d’en augmenter notre capital. Nous avons convenu de verser 50,000 kwachas zambiens (12,50 $US) chacun.

ANIMATRICE:
Combien de membres aviez-vous au début?

AGRICULTEUR:
Il y a eu au total 49 membres intéressés par l’idée et qui se sont inscrits. Tous les membres ont un vote égal – un membre, un vote –, si bien que tout le monde est égal dans la coopérative. Après avoir rassemblé notre argent, nous avons acheté du maïs à des agriculteurs des villages voisins, puis nous nous sommes rendus à Lusaka et nous avons vendu le maïs à une minoterie. Ce fut facile pour nous de vendre le maïs parce que nous étions un groupe et nous avions un gros volume en combinant nos récoltes. Autrement, ce n’est pas facile de se rendre simplement dans une minoterie ou une autre compagnie pour vendre quelque chose.

Avec le bénéfice que nous avons tiré de cette vente, nous avons pu visiter les bureaux de la Zambia National Farmers Union où notre coopérative était enregistrée et nous avons demandé des conseils sur les cultures à faire pousser avec ou sans pluie. Nous voulions une culture qui pourrait nous rapporter un petit bénéfice pendant la saison hivernale, de mai à juillet. Mais nous n’avons pas obtenu ce que nous voulions. Cependant, à cette époque, des gens d’une compagnie agricole appelée Conservation Farming Unit (CFU) sont venus dans notre région pour apprendre aux agriculteurs à faire pousser des cultures à l’aide de méthodes agricoles de conservation. C’est là que mes deux autres amis et moi avons eu l’idée de faire pousser des semences de maïs pour les vendre à nos collègues agriculteurs dans notre village. Nous avons parlé de notre idée au coordonnateur de la Conservation Farming Unit et il en semblait heureux. Nous avons ensuite parlé à ses supérieurs. Ils étaient ravis de notre idée et ont envoyé un groupe de gens pour nous entraîner à faire pousser des semences de maïs. Il est important d’apprendre ensemble, surtout quand nous dirigeons nos propres entreprises et ne fonctionnons pas sous la commande d’une autre compagnie ou du gouvernement.

ANIMATRICE:
Combien de temps a duré l’entraînement et qu’avez-vous appris exactement?

AGRICULTEUR:
L’entraînement a duré trois mois et nous avons appris beaucoup de choses. Nous avons appris sur quelle sorte de bons sols faire pousser des semences de maïs, comment s’occuper des maladies en cas de propagation, ainsi que l’importance d’avoir un champ exempt de mauvaises herbes jusqu’au moment de la récolte.

ANIMATRICE:
Était-ce gratuit?

AGRICULTEUR:
Non, nous avons versé un certain montant pour défrayer le cours de formation. Mais cela en valait la peine; en outre, certains agriculteurs ont pu payer par versements échelonnés.

ANIMATRICE:
Quand avez-vous mis en pratique ce que vous aviez appris?

AGRICULTEUR:
Immédiatement après avoir terminé le cours de formation, nous avons investi le bénéfice que nous avions réalisé dans le projet visant à faire pousser des semences de maïs irrigué. Nous avons réussi à produire 20 sacs de semences de maïs, que nous avons vendus à des agriculteurs locaux. Nous n’avons pas fait beaucoup de bénéfice parce que nous avons vendu les semences à des agriculteurs locaux à un prix inférieur en raison du fait que nous venions tout juste de démarrer notre entreprise et que notre produit n’avait pas encore obtenu la confiance dont jouissaient les autres compagnies de semences. Par conséquent, la plupart des agriculteurs choisissaient d’acheter à des compagnies ordinaires de semences en ville. L’année suivante, nous avons doublé notre production et augmenté un peu le prix des semences. Cette fois-là, nous avons pu réaliser un petit bénéfice.

ANIMATRICE:
Nous serons de retour dans une minute pour continuer notre discussion avec M. Chiyabuka de la Nakabu Cooperative.

Montée du thème musical. Fondu enchaîné sous la voix de l’animatrice

ANIMATRICE:
Au cas où vous viendriez de prendre l’écoute, vous écoutez Zambia Today. À l’émission d’aujourd’hui, nous nous entretenons avec un agriculteur qui est également trésorier de la Nakabu Cooperative, M. Laban Chiyabuka. Il nous parle des avantages que 48 autres agriculteurs et lui-même ont connus à Mumbwa après avoir formé une coopérative dans leur village, et comment leur vie a changé pour le mieux.

Sortie du thème musical pendant 5 secondes

ANIMATRICE:
M. Chiyabuka, pourquoi pensez-vous que les agriculteurs de votre village préfèrent acheter des semences de maïs de votre coopérative et pas des compagnies de semences en ville?

AGRICULTEUR:
Je pense que c’est parce que nos semences se sont révélées généralement bonnes et donne de bons résultats pour les agriculteurs. En dehors de cela, elles coûtent moins cher comparativement aux semences achetées auprès de compagnies de semences. Nos semences coûtent 60,000 kwachas zambiens les 10 kilos (15 $US). En comparaison, les compagnies de semences vendent leurs semences pour 70,000 kwachas zambiens les 10 kilos. De plus, les agriculteurs locaux qui ont besoin de grandes quantités de semences peuvent acheter les nôtres dans le village sans perdre de temps et d’argent pour louer un véhicule. La plupart, voire la totalité, des compagnies de semences de ce pays ne livrent pas chez les agriculteurs. Alors, nous avons profité de ces avantages et, fort heureusement, nous sommes continuellement en croissance. En outre, puisque nous sommes des membres de la collectivité et les voisins des autres agriculteurs, ils nous font confiance. Ils savent que nos bénéfices profiteront à la collectivité au lieu de se déverser dans la ville, comme c’est le cas lorsqu’ils achètent auprès d’une autre compagnie.

ANIMATRICE:
Vous avez l’air de bien réussir. Êtes-vous confrontés à des défis dans votre entreprise de semences?

AGRICULTEUR:
Bien sûr que nous avons des défis à relever. Comme vous l’avez mentionné plus tôt, le climat a vraiment changé et a été dur pour nous, les agriculteurs. À la différence du passé quand nous avions l’habitude d’avoir des sécheresses, nous avons maintenant trop de pluie, ce qui provoque des inondations dans de nombreuses parties de notre village. L’excédent de pluie entraîne une mauvaise croissance de nos cultures parce que le sol est gorgé d’eau, ce qui nous empêche d’avoir des champs exempts de mauvaises herbes. Parfois, les inondations emportent nos récoltes dans leur puissant courant. Par conséquent, si les pluies continuent de cette façon, nous avons très peur de ne rien récolter du tout durant la saison qui vient.

ANIMATRICE:
Comment atténuez-vous votre perte?

AGRICULTEUR:
Nous ne faisons pas pousser uniquement des semences de maïs – nous nous sommes également lancés dans l’élevage des porcs. Ce fut une très bonne idée. Nous vendons les porcs à une compagnie appelée Real Meat. À titre de coopérative, ce fut encore une fois facile de signer un contrat avec une compagnie de viande. Nous avons donc signé un contrat avec cette compagnie à laquelle nous vendons nos porcs à 10,000 kwachas zambiens (2,50 $US) le kilo. Par conséquent, selon le nombre de porcs et leur poids, nous sommes en mesure de couvrir les pertes éventuelles encourues avec les semences de maïs. Entre-temps, j’ai le plaisir d’annoncer à vos auditeurs et à mes collègues agriculteurs que nous nourrissons bien les porcs et que nous empêchons tout foyer de maladie possible dans les porcheries. Lorsque nous les vendons, ils pèsent donc au moins 35 kilos chacun, ce qui nous rapporte un bon bénéfice. En outre, nous parlons à d’autres coopératives en Zambie. Il y a tellement de coopératives ayant des compétences différentes. Nous nous rendons visite pour apprendre les uns des autres. De même, à titre d’agriculteurs individuels, nous n’avions pas les moyens d’embaucher un agent de vulgarisation agricole, mais nous pouvons le faire en tant que groupe. Nous avons donc appris de nouvelles techniques pour réduire les dégâts causés par les inondations et pour conserver l’eau pendant les périodes de sécheresse.

ANIMATRICE:
Lorsque vous vendez vos porcs à la Real Meat Company, combien gagnez-vous durant une bonne journée?

AGRICULTEUR:
Nous gagnons jusqu’à huit millions de kwachas zambiens (2 000 $US).

ANIMATRICE:
C’est une somme considérable. Que faites-vous de tout cet argent?

AGRICULTEUR:
Nous en réinvestissons une partie et nous partageons le reste entre nous pour nos familles.

ANIMATRICE:
Quelles différences avez-vous constatées dans votre vie depuis l’époque où vous avez lancé cette coopérative?

AGRICULTEUR:
Il y a eu beaucoup de progrès dans ma vie ainsi que pour les autres membres. Pour mon cas personnel, mes six enfants vont maintenant à l’école et les plus vieux ont même fréquenté l’université. J’habitais dans une hutte à toit de chaume et maintenant j’ai une belle grande maison au toit recouvert de tôles. Mon entreprise personnelle – qui est aussi un élevage de porcs – marche très bien. Je ne peux donc pas me plaindre.

ANIMATRICE:
Alors que nous approchons de la fin de cette entrevue, quelles paroles d’encouragement avez-vous pour vos collègues agriculteurs qui ont encore bien du mal avec leur entreprise agricole?

AGRICULTEUR:
Le conseil que je leur donnerais serait de se regrouper en tant qu’agriculteurs et d’émettre l’idée de faire pousser quelque chose, et ensuite ils ne devraient pas temporiser mais plutôt agir rapidement. Je pense que le gouvernement, le Zambian National Farmers Union ou n’importe quelle compagnie agricole aidera plus facilement un groupe d’agriculteurs qu’un individu, parce que les agriculteurs parleront alors d’une voix forte. Il est presque impossible de faire des affaires avec une personne. La Nakabu Cooperative marche bien, même face à tous les défis présents dans le secteur agricole de notre pays, parce que nous sommes unis et parce que nous travaillons ensemble pour assurer l’avenir de nos familles. Tout ce que je peux donc vous dire maintenant, chers agriculteurs et chers auditeurs, c’est de former des coopératives d’agriculteurs et le succès est assuré.

ANIMATRICE:
Eh bien, chers agriculteurs et chers auditeurs, vous avez entendu de vos propres oreilles ce qu’a dit M. Laban Chiyabuka. J’espère que cette émission de Zambia Today vous a appris une ou deux choses qui amélioreront votre entreprise agricole. Si vous avez des questions ou des rétroactions, vous pouvez écrire au producteur de l’émission Zambia Today, B.P. 50015, Lusaka. En attendant de vous présenter une autre émission éducative la semaine prochaine, ici Alice Lungu Banda qui vous souhaite une bonne nuit au nom de toute l’équipe de production

Acknowledgements

  • Rédaction : Alice Lungu Banda
  • Révision : Rodd Myers, gestionnaire de programme supérieur, développement international; expert en développement agricole, Canadian Cooperative Association

Ce texte est adapté d’une émission produite le 20 décembre 2007 à la station Zambia National Broadcasting Corporation.

Merci à :

  • Zambia National Farmers Union, Showgrounds, Lusaka, Zambie
  • Nakabu Cooperative (Mumbwa) Zambie
  • Conservation Farming Unit, Plot A30 Palm Drive Road, Lusaka, Zambie

Des remerciements très particuliers sont adressés au Fonds de justice sociale du Syndicat des travailleurs et travailleuses canadiens de l’automobile (TCA) pour l’appui accordé à cette pochette de textes portant sur le travail dans le secteur de l’agriculture.