Ergothérapie et traitement nutritionnel pour les personnes vivant avec le VIH et le sida

NutritionSanté

Notes au radiodiffuseur

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Le Lesotho, appelé autrefois Basutoland, est un pays montagneux d’une splendeur naturelle époustouflante avec des paysages à couper le souffle. Il est bordé de tous côtés par l’Afrique du Sud et compte environ deux millions d’habitants. Il possède le taux de prévalence du VIH le plus élevé au monde à 27,7 %, mais comme sa population est peu nombreuse, quelque 500 000 personnes seulement sont infectées par le VIH en chiffres absolus. Cette situation a engendré une espérance de vie moyenne très basse au Lesotho – soit 37 ans. Les soutiens de famille, surtout des hommes, vont souvent travailler dans les mines sud-africaines et reviennent à la maison avec le VIH. Ceux qui ne peuvent pas obtenir de traitement meurent en laissant derrière eux des veuves et des enfants. Par conséquent, beaucoup de ménages ont à leur tête des enfants.

Il est bon de mentionner que les gens sont maintenant en mesure de rechercher un traitement médical et d’obtenir une thérapie aux antirétroviraux ou TAR. Le traitement et les médicaments sont gratuits et les personnes séropositives peuvent dorénavant vivre plus longtemps et en meilleure santé. Toutefois, les personnes atteintes de la maladie, surtout les veuves et les enfants, souffrent souvent doublement de l’infection par le VIH et de la pauvreté. Les ressources sont rares et les emplois sont difficiles à trouver. Pour s’entraider, les personnes vivant avec le sida, ou PVAS, forment habituellement des groupes de soutien pour résoudre les problèmes communs.

Le Heso Organic and Integrated Therapeutic Centre est l’un de ces groupes de soutien. Il vise à autonomiser les familles et les collectivités en utilisant une approche communautaire holistique et pratique des soins et du soutien. Le Centre est situé au milieu du Plateau Thuathe dans le District de Berea, qui fait face au magnifique paysage du Lesotho et des monts Maluti. Selon son fondateur Malitlallo J. Majara, le Centre a connu une croissance pour devenir autonome et s’occupe non seulement des besoins des personnes appauvries par le VIH, mais aussi des besoins nutritionnels et ergothérapeutiques des collectivités avoisinantes. Il offre un large éventail de thérapies alternatives et complémentaires aux groupes vulnérables (séropositifs ou non), incluant massages, méditation, exercices de conditionnement physique et promenades dans les jardins en plein air.

Le présent texte est une mini-dramatique qui repose sur une entrevue réelle avec le fondateur et des participants du Heso Organic and Integrated Therapeutic Centre en octobre 2010. Des entrevues informelles se sont également déroulées entre l’auteur et deux stagiaires allemands qui étaient bénévoles au Centre pendant environ six mois. Vous pourriez vous en inspirer pour faire des recherches et rédiger un texte sur un sujet semblable dans votre région. Ou encore vous pourriez choisir de produire ce texte dans votre station en utilisant des voix d’acteurs pour représenter les gens qui parlent. Si tel est le cas, veuillez vous assurer de prévenir votre auditoire, au début de l’émission, que les voix sont celles d’acteurs et non pas des personnes initialement impliquées dans les entrevues.

Texte

Personnages

Mphana : veuve de 30 ans et mère de trois enfants
Ngopokin : 8 ans, fils aîné de Mphana, orphelin par le décès de son père
Mphor : 6 ans, fille cadette de Mphana
Mateboho : 4 ans, fille benjamine de Mphana
Mputsoe : enseignante et membre active du groupe de soutien sur le VIH, Maseru
Modise : participant âgé au séminaire sur la génération de revenus et les gens nouvellement astreints à prendre des médicaments contre le VIH
Moshoeshoe : agente administrative du groupe de soutien auquel se joint Mphana

Animateur :
Bonjour et bienvenue à notre émission de radio Everyday People. Au micro votre animateur habituel, Malepekola Sejane. Ce qui suit est une mini-dramatique; je commencerai par vous donner un bref résumé de cette histoire réaliste. C’est l’histoire de Mphana. Mphana est une veuve, mère de trois enfants, qui a perdu récemment son mari à cause d’une maladie reliée au sida. Par la suite, elle a été testée séropositive au VIH dans une clinique gouvernementale. Elle a commencé une thérapie aux antirétroviraux qui a donné de bons résultats sur le plan santé. Par chance, ses trois enfants ont été testés négatifs. Son principal défi a été son chômage et sa lutte quotidienne pour nourrir ses trois enfants et payer leurs frais de scolarité. Puis, un jour, la situation a connu un virage positif inattendu lorsque son fils a été ramené à la maison par son enseignante à cause de ses frais de scolarité impayés. Ce fut le premier contact de Mphana avec un réseau de gens séropositifs au VIH et au sida.

Indicatif musical et fondu enchaîné sous la voix de l’animateur

Animateur :
Au cours de l’épisode d’aujourd’hui de notre émission Everyday People, nous aborderons un sujet très délicat qui touche les femmes dans la société. Permettez-moi de commencer en vous posant une question. (Pause) Comment vous sentiriez-vous si vous étiez une femme séropositive, sans emploi, et si votre soutien de famille était décédé? Faites-moi part de vos sentiments. Je serai de retour dans quelques instants avec l’histoire de Mphana et de ses collègues. Nous apprendrons de quelle façon elles sont parvenues à surmonter les difficultés. Au micro de votre radio votre présentateur, Malepekola Sejane.

Montée de l’indicatif musical et sortie en fondu enchaîné

Animateur :
De retour à ma question. Que feriez-vous si vous étiez une femme séropositive, sans emploi, et si votre mari décédait en vous laissant seule avec trois enfants? Comment vous débrouilleriez-vous? Eh bien, c’est le dilemme de Mphana, une ménagère avec trois enfants, dont le mari est décédé d’une maladie reliée au sida. Jetons un coup d’œil sur la vie de Mphana. Voyons comment elle s’est débrouillée dans la vie deux ans après le décès de son mari

Bruit de femmes fredonnant une chanson locale, tout en mettant du bois dans le feu

Mateboho:
(Bâillant) Miam, miam, j’ai faim!

Mphana:
(Exaspérée, essayant d’affirmer son autorité) Vas-tu te taire, Mateboho, et attendre que la nourriture soit prête? Ne vois-tu pas que le feu me brûle les mains? Prends cet épi de maïs. Manges-le et bois beaucoup d’eau. Prends cet autre épi et donnes-le à ta grande sœur Mphor. Assures-toi de ne pas manger sa part! Ensuite, nous attendrons que Dieu veuille bien nous nourrir. Attends que je revienne de la ferme.

Mateboho:
Mais qu’arrivera-t-il si Dieu refuse de nous donner quoi que ce soit?

Mphana :
(D’un ton rassurant) Dieu, qui a fait les bouches – incluant la vôtre, celles de Mateboho, de Ngopokin, de Mphor et la mienne – les nourrira assurément toutes, ma fille. Souris pour maman, n’est-ce pas? Là, je reconnais ma fille.

Mphor:
Maman, as-tu pris tes médicaments? Je ne t’ai pas vue avaler tes pilules ce matin.

Mphana :
(Serrant sa fille dans ses bras, en versant des larmes) Mon ange gardien, que ferais-je sans toi dans ce monde? J’étais occupée à essayer de faire cuire quelque chose pour vous et je les ai presque oubliées. Vas dans la chambre et apportes-moi la boîte à pilules. Merci.

Mphana :
(Faisant appel à son ange gardien)Apportes-moi aussi un peu d’eau, Mphor!

Bruit d’eau versée dans une tasse, puis bruit de pas alors que Mphor tend la tasse à sa mère

Mphana :
(Avalant difficilement)Merci. Maintenant, je peux faire face à mon (coupée dans son élan)… Qui donc arrive à la maison avec Ngopokin? N’est-il pas censé être à l’école?

Mphor :
(Grognant)Oh, oh! La situation ne semble pas des plus favorable. Je pense qu’il est avec sa maîtresse d’école.

Animateur :
Alors, qu’est-il arrivé ensuite à cette courageuse mère de trois enfants? Veuillez rester à l’écoute. Je serai de retour après une courte pause publicitaire.

Montée de la musique/annonce publicitaire, puis sortie en fondu enchaîné

Animateur :
Nous voici de retour à votre émission éducative et divertissante Everyday People. Avant la pause, nous avons entendu parler des défis auxquels fait face Mphana, la veuve mère de trois enfants. Joignons-nous à elle alors qu’elle reçoit un visiteur inattendu.

Bruit de pas qui approchent

Mputsoe :
(Arrivant au micro)Lumela meh (Note de la rédaction :se prononce «Du-me-la meh» ce qui signifie «Bonjour, Madame»). Comment allez-vous?

Mphana :
Je vais bien. Et vous? (Note de la rédaction : E-e! est une expression orale courante dans la culture Basotho. C’est une façon respectueuse de répondre à une salutation, une façon de dire «Humm humm» ou «oui».

Mputsoe :
Comme ci, comme ça, mais nous remercions Dieu. Êtes-vous la mère de Ngopokin, s’il vous plaît?
Mphana :
E-e!Oui, c’est moi. Y-a-t-il un problème avec mon fils?

Mputsoe :
Pas vraiment. Je suis sa maîtresse d’école. Je m’appelle Mputsoe. Je dois dire que votre enfant est brillant en classe. (Se tournant brutalement) Hé, Ngopokin, veux-tu arrêter de faire des grimaces à tes sœurs? Mais ce n’est pas la raison pour laquelle je suis venue vous parler. C’est l’école qui m’envoie pour vous dire que ses frais de scolarité ne sont pas payés pour le deuxième et le troisième trimestre. Vous devez actuellement à l’école 350 loti du Lesotho. L’école estime qu’il devrait rester à la maison jusqu’à tant que tous ses frais de scolarité soient payés. Je suis désolé; je ne suis qu’une messagère.

Mphana :
(Pause) Eh bien, merci. Je sais que je dois cette somme. Vous voyez, j’ai essayé de faire un jardin potager pour gagner un peu d’argent. Malheureusement, nous en avons mangé la majorité. J’ai utilisé le peu que j’ai pu vendre pour acheter ses sandales neuves et les cahiers d’exercices qu’il transporte.

Mputsoe :
Je suis vraiment désolée au sujet de votre défunt mari. Votre fils m’a parlé de votre situation difficile. Permettez-moi de vous dire que nous avons quelque chose d’autre en commun.

Mphana:
(Perplexe et inquiète) Que cela peut-il bien être en dehors de notre féminité (Éclats de rire nerveux)?

Mputsoe:
Eh bien, oui, c’est exact. Excusez-moi si je fais intrusion dans votre vie privée. Ces boîtes de médicaments dans vos mains – ils ressemblent étrangement aux miens. Je suis également séropositive. Je prends des ARV depuis maintenant cinq ans. Je ne me débrouille pas trop mal, n’est-ce pas?

Mphana:
C’est intéressant. Il est bon d’entendre cela. J’en prends depuis à peine deux ans.

Mputsoe:
Je pense que nous nous sommes rencontrées au bon moment. Je suis la leader d’un groupe de soutien sur le VIH dans le village voisin. Un certain nombre de veuves ont comme nous le même genre de problème, à savoir nourrir nos enfants, nous vêtir, payer les frais de scolarité. Ma sœur, le fardeau est trop lourd.

Mphana:
Ma sœur, vous avez touché là mon point le plus sensible. Je pensais être la seule à souffrir en silence. Toute ma belle-famille et ma parenté m’ont abandonnée à mon triste sort avec mes enfants.

Mputsoe:
Vous n’êtes pas seule. Nous avons en fait commencé à former un groupe de soutien plus vaste impliquant nos deux villages et cinq villages voisins, autour des monts Maluti. Nous avons recruté plus de 40 veuves et de 20 femmes mariées, toutes séropositives avec le VIH et le sida. Nous travaillons dans l’agriculture. Nous avons une société coopérative qui accorde des prêts pour aider nos membres. Voulez-vous être des nôtres cet après-midi au Centre Heso près du cimetière du Roi Moshoeshoe le Grand?

Mphana:
!Avec grand plaisir! Je serai là pour la rencontre bien avant vous.
Montée d’instruments musicaux locaux, puis sortie en fondu enchaîné

Animateur:
Au cours de la dernière partie de cette émission, nous apprendrons comment Mphana s’est jointe à ce réseau de femmes. Nous entendrons également comment le groupe de soutien a amélioré la situation socio-économique et le bien-être non seulement de personnes qui vivent avec le VIH et le sida, mais aussi des collectivités voisines. Alors, ne nous quittez pas.

Montée du bruit d’un instrument musical local, puis sortie en fondu enchaîné

Mputsoe:
Ah, ma sœur Mphana. Vous êtes arrivée avant moi à la rencontre! Vous êtes la bienvenue. Entrons. Je veux vous faire rencontrer l’agente administrative qui vous inscrira. C’est gratuit. Par la suite, nous rencontrerons les autres participantes.

Mphana:
E-e! Ke leboha! (Note de la rédaction : Merci).

Moshoeshoe:
Veuillez vous asseoir. Pour vous inscrire, j’ai besoin de vos renseignements familiaux : nom, situation de famille, nombre d’enfants, niveau de scolarité, etc. Il me faudra également un résumé de vos antécédents médicaux. Vos renseignements seront confidentiels. Par la suite, apportez-nous si vous le pouvez un rapport médical de votre hôpital, ce sera plus facile.

Mphana:
Je suis d’accord. Le problème, c’est que… (timidement) Je n’ai pas d’argent pour payer le rapport médical.

Moshoshoe:
Ne vous en faites pas. Je vous donnerai un peu d’argent de nos fonds pour couvrir votre transport et le rapport médical. Entre-temps, vous pouvez choisir dans quel domaine de nos activités vous souhaitez commencer. Vous pouvez choisir de travailler dans le verger ou la porcherie ou le restaurant ou la ferme biologique. Ou bien, vous pourriez nous aider à animer des ateliers ou même nous aider dans l’administration de notre bureau ou des locations.

Mphana:
Avez-vous parler d’animer des ateliers? Non, pas moi. Je suis incapable de me tenir debout devant une foule qui me regarde et de parler! Dieu sait que mes cordes vocales me lâcheraient. (Rire) Je préférerais faire un essai dans la porcherie. Je n’ai qu’un certificat d’études primaires.

Moshoeshoe:
C’est très bien. Nous vous accorderons un prêt souple et avantageux. Vous gérerez la ferme d’élevage ici dans nos locaux. Vous pouvez utiliser tout notre matériel gratuitement. Vous rembourserez ensuite l’organisme en fonction de vos revenus. Lorsque vous aurez remboursé tout le prêt, les porcs seront à vous.

Mphana:
C’est aussi simple que cela?

Moshoeshoe:
Aussi simple que cela! C’est une de nos façons de générer un revenu ici même. Nous sommes autonomes. Nous ne recevons aucune aide de sources externes. Bien sûr, si vous souhaitez par la suite changer votre domaine de spécialisation, vous pourrez le faire. Vous pouvez travailler dans la section des locations où vous pouvez louer les logements et la salle de conférence à un prix abordable. Vous pouvez également choisir de vous joindre à notre groupe d’agricultrices et cultiver ou vendre les produits agricoles.

Mphana:
Et travailler dans le restaurant? Je m’enorgueillis d’être une excellente cuisinière. Je réussirai assurément à attirer une nouvelle clientèle.

Moshoeshoe:
(Se léchant les babines, en humant l’odeur imaginaire d’un bon repas) Hummmm! J’ai tellement hâte de goûter votre nourriture! Dois-je comprendre que vous souhaitez changer de la porcherie au restaurant?

Mphana:
(D’un ton chaleureux) Oh non! La porcherie est assurément plus rentable. Je les élève, j’en vends quelques-uns et je gagne de l’argent pour vous rembourser votre prêt. Ensuite, il m’en reste quelques-uns pour moi! Que puis-je demander de plus?

Intermède musical avec sortie en fondu enchaîné sous la voix de femmes chantant dans un dialecte local, bruit de houes (binettes) en arrière-plan, grognements de porcs

Mputsoe:
Mphana, pourriez-vous m’aider avec ce seau? Non, celui-là avec les enveloppes de maïs. Oui. Merci. Combien de porcs avez-vous nourris?

Mphana:
E-e!J’en ai nourris 15. Ces porcelets dans la case 12 sont encore en train de boire. Quand ils auront terminé, je nourrirai leur mère. Entre-temps, je veux aller à la ferme biologique. J’ai quelques pommes de terre et citrouilles à récolter. J’en ai besoin pour ces monstres affamés que sont mes enfants (rires).

Mputsoe:
Grâce à Dieu, je ne suis pas seule. N’oubliez pas le principe d’un régime équilibré. Apportez-leur du porc de l’abattoir. Nous pouvons toujours le déduire de votre salaire à la fin du mois.

Mphana:
E-e! Ke leboha!(Note de la rédaction :prononcé « Kia-le bo-ha» qui signifie Merci!)

Femmes entonnant un chant bruyant en langue Sesotho. Fondu enchaîné et maintien sous les voix des orateurs.

Modise:
Hé, enseignante Mputsoe, nous les vingt-deux participants venons tout juste de terminer le cours d’orientation, destiné aux personnes nouvellement astreintes à prendre leurs médicaments, et la formation en génération de revenus pour les hommes et les femmes du village. Pouvons-nous faire une promenade dans le jardin maintenant, simplement pour calmer nos nerfs et respirer un air plus frais?

Une participante:
Ntate Modise, Je n’ai pas fréquenté une salle de classe depuis mon école secondaire. Mon cerveau est rouillé pour le bruit des salles de classe! Je pourrais consommer plus d’oxygène (Note de la rédaction :Ntate est un mot poli en langue Sesotho pour dire Monsieur).

Mputsoe:
(Riant)Je devine que vous, bande de cloches, devriez aller faire votre promenade antistress et antidépression dans le verger! Le deuxième groupe des villages de Leribe et Mohale attend pour débuter sa session. Pourriez-vous libérer le hall? Puis-je entendre un «E-e!»?

En chœur:
E-e-e-e-e!

Montée de l’indicatif musical, puis sortie en fondu enchaîné et maintien en arrière-plan

Animateur:
Le programme d’ergothérapie du Centre Heso a créé des emplois pour plus de 200 personnes dans cinq villages. Les familles ont apporté des changements positifs à leur régime alimentaire, augmenté leur capacité de gagner leur vie, mieux géré leur stress et adopté l’agriculture comme ergothérapie. En fait, le Centre a bâti son propre hall de conférence avec des matériaux locaux. Il compte également cinq lits d’hébergement avec des meubles modernes, un centre de soins à domicile avec des unités pour les soins de santé maternelle et infantile, une porcherie avec une capacité pour 50 animaux, des fermes biologiques, un verger, un centre de nutrition et plus de 10 hectares de terres agricoles. Pour de plus amples informations, veuillez communiquer avec le Centre au numéro +266-58752797.

Montée de l’indicatif musical pendant deux secondes, puis fondu enchaîné sous la voix de l’animateur

Animateur:
Ainsi prend fin notre émission d’aujourd’hui. J’espère que vous avez été inspirés par les histoires des gens que vous venez d’entendre. Soyez à l’écoute pour le prochain épisode de l’émission Everyday People, même heure, même poste. Bonne soirée.
Au micro, votre animateur Malepekola Sejane.

Montée de l’indicatif musical, maintien puis sortie en fondu enchaîné

Acknowledgements

Rédaction : Lawrence Wakdet, pharmacien/praticien de la santé publique, Institut de virologie humaine, Kano, Nigeria
Révision : Lynn Van Lith, École Johns Hopkins Bloomberg du Centre de santé publique pour les programmes de communication
Traduction : Jean-Luc Malherbe, Société Ardenn, Ottawa, Canada

Information sources

  • The Heso Organic and Integrated Therapeutic Centre, Makujoe, District de Berea, Lesotho, brochure, 2010.
  • Brochure touristique du Royaume des montagnes du Lesotho, Lesotho Tourism Development Corporation, Maseru : www.ltdc.org.ls.
  • L’entrevue avec Malitlallo J. Majara, fondateur du Heso Organic and Integrated Therapeutic Centre, District de Berea, Lesotho, a eu lieu en octobre 2010.
  • Entrevue avec deux stagiaires allemands au Centre en octobre 2010.
  • Discussions informelles avec l’agente administrative du Heso Organic and Integrated Therapeutic Centre, octobre 2010.
  • Discussions informelles avec une participante qui travaille dans la cuisine/ le restaurant, octobre 2010.